Mon meilleur conseil pour devenir no 1 sur Google!
23 avril 2012 |
BLOGUE. Je vais écrire souvent sur le référencement web parce qu’il s’agit d’un sujet qui passionne beaucoup d’entrepreneurs. Cette fascination est évidemment liée aux bénéfices indéniables que peut apporter un bon positionnement sur les moteurs de recherche. Toutefois, le brouillard apparent qui entoure cette « science », ainsi que la rapidité avec laquelle celle-ci évolue mystifie encore les gestionnaires de PME qui, comme vous, sont avides d’information à ce sujet.
Les règles de la logique n’expliquent pas toujours vos performances en ligne? N’allez pas en conclure que Google, Bing ou Yahoo sont des bêtes indomptables. Gravir les échelons et s’approprier une place enviable sur la première page de résultats de recherche est une mission possible, mais pas nécessairement facile. En plus des mots-clés, les variables sociales et locales prennent une place de plus en plus importante dans cette partie d’échecs et le défi se complexifie à mesure que vos concurrents optimisent leur site et investissent en référencement naturel.
L’objectif de mon billet n’est donc pas de vous expliquer en quelques paragraphes comment atteindre le sommet de l’Everest. Je prépare à ce sujet une méga liste de vérification SEO (Search Engine Optimization) que je partagerai avec vous au cours des prochaines semaines. Aujourd’hui, mon objectif est plutôt de vous sensibiliser sur l’importance de maîtriser les bases, lorsque l’on parle de référencement.
Trop souvent, les petites et moyennes entreprises se laissent distraire par la saveur du jour. Et Dieu sait que lorsque l’on parle de SEO, celle-ci change constamment. Je partagerai donc avec vous un conseil simple, un seul, mais le meilleur que j’ai reçu et testé depuis quelques années! Ce petit truc est pourtant négligé par la majorité des PME qui ont pignon sur la toile.
Le référencement est encore aujourd’hui une affaire de mots. Ce n’est plus exclusivement des mots sur votre site web, puisque la recherche est de plus en plus sociale, mais reste que vos clients potentiels utilisent des groupes de mots pour vous trouver, que ce soit sur un moteur de recherche ou sur Twitter! En tenant compte de ce contexte, prenez le temps qu’il faut pour vous mettre dans la peau de votre client idéal. C’est à lui que vous parlez!
Mais vous posez-vous les mêmes questions que lui?
Je vois encore trop d’entreprises dresser une liste de mots-clés qui reprend plus ou moins en vrac la liste de leurs produits ou de leurs services. Cet exercice est utile, mais vous devez aller plus loin. Par exemple, si vous offrez des cours de dressage pour chien, vous pouvez bien trouver tous les synonymes possibles pour décrire vos services (cours, formation, apprentissage, dressage, chien, canin, etc.) mais, ce faisant, vous oubliez encore le principal : votre client. Celui-ci n’a peut-être pas envie de faire dresser son chien… aujourd’hui. Il pense peut-être y arriver lui-même. Si c’est le cas, il risque de chercher de l’information pour régler son problème. Il cherchera des conseils pour modifier le comportement d’un chien qui mord, d’un chien qui refuse de manger, d’un chien qui n’écoute pas, etc. En vous mettant dans la peau de votre client, vous identifiez des besoins auxquels votre offre est en mesure de répondre. C’est très différent que de simplement développer une liste de synonymes de vos services.
Cet exercice vous permettra de voir les opportunités de création de contenu pour votre site web ainsi que pour vos autres outils marketing (infolettre, blogue, plateformes sociales). En ajoutant du contenu informationnel et non pas exclusivement promotionnel à vos médiums électroniques, vous attirerez des internautes qui auraient autrement ignoré votre existence. N’oubliez pas que le maître du chien, qui aura essayé (sans succès) de dresser son animal lui-même, deviendra tôt ou tard un candidat probable au titre de client!
C’est la base, mais il faut passer par là pour optimiser votre site… et vos résultats!
À la semaine prochaine,
Stéphanie